RENCONTRE & SIGNATURE : MOLITOR X KOUKA
Le Bookshop a le grand plaisir d’accueillir l’artiste Kouka pour une séance de dédicaces exceptionnelle en collaboration avec l’équipe artistique de Molitor.
Kouka a réalisé une œuvre sur un mur de livres mettant ainsi « Molitor : vibrations artistiques » à l’honneur. Les livres qui composent ce murs seront proposés à la vente au Bookshop.
LE LIVRE
Depuis trois décennies le nom de Molitor est intimement lié à l’histoire du street art.
Temple de l’underground dans les années 1990/2000, alors qu’il était abandonné, l’établissement a développé dès sa réouverture, en 2014, une démarche curatoriale ambitieuse, fidèle à l’esprit de cette période. Il a ainsi permis à quelques 70 artistes urbains d’investir chacun l’une des cabines de l’emblématique bassin d’hiver, pour y créer librement une œuvre.
Le livre “Molitor : vibrations artistiques”, aux éditions h’artpon, est le premier inventaire consacré à ce projet muséal unique en son genre.
On ne présente plus « Kouka Ntadi, artiste peintre franco-congolais, né à Paris en 1981. Petit-fils du peintre expressionniste Francis Gruber, diplômé de l’école des Beaux-Arts en 2005, il ne cesse de confronter ses origines, sur ses toiles comme dans la rue.
Déclinant différentes formes du portrait, il développe ses thèmes de recherche autour de l’essence de l’Homme, et de l’identité.
Son travail se caractérise par l’expressivité et la spontanéité du geste, laissant volontairement apparaître les imperfections et les coulures. Sa peinture se joue des codes du graffiti pour mieux toucher au cœur d’une recherche sur le statut de l’image.
Depuis ses fameux « Guerriers Bantu » qui ont marqué sa première empreinte urbaine singulière, il ne cesse de rappeler que l’espace public, comme le monde, n’appartient à personne.
S’affirmant avec un travail quasi obsessionnel sur le portrait, il créé un voile entre le visage de l’artiste et le spectateur qui devient protection et vecteur de pensée. Parfois la figure disparait pour laisser place à l’écriture et son pouvoir. Le travail devient une surface blanche où seule la force des mots s’exprime. Indistinct, indéchiffrable, énigmatique, le langage n’est plus identifié, les mots se changent en symboles comme un retour à l’universalité. » Biographie : Nadège Buffe (Galerie Taglialatella)
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